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FREE OUR SOLDIERS

19 avril 2007

L'inlassable combat du père du soldat Shalit

A peine raccroché, le téléphone sonne à nouveau.

Noam Schalit, assis dans le salon baigné de lumière de la maison de Mitzpe Hilla, un village de Galilée près de la frontière avec le Liban, reprend le combiné. Il répète les mêmes remerciements avec la même voix douce et monocorde. Sur la table basse à côté de lui, une photo encadrée de son plus jeune fils, Gilad, 20 ans. Un portrait du jeune homme brun, aux traits encore juvéniles, souriant devant le paysage à moitié enneigé du Golan, dans le nord d'Israël.

«Les gens trouvent notre numéro dans les pages blanches. Beaucoup nous disent qu'ils laisseront un siège vide pour Gilad ce soir pour le seder de Pessah [repas traditionnel de la pâque juive]», explique-t-il. Noam s'exprime dans un mélange d'hébreu et de français, qu'il a hérité de sa mère, une Française installée en Israël. Noam et ses trois enfants, Gilad, Yoël, 24 ans et Hadas, 17 ans, ont ainsi la double nationalité, française et israélienne.

Gilad Schalit a été capturé le 25 juin lors d'une attaque commando palestinienne dans le sud d'Israël, à la lisière de la bande de Gaza. Depuis, tous les efforts pour obtenir des renseignements sur son sort sont restés vains.

Bataille diplomatique. Quand il a entendu, tôt dans la matinée du 25 juin, que des Palestiniens armés avaient mené une opération contre des soldats israéliens, Noam n'a pas appelé Gilad. Il pensait que son fils était en patrouille à plusieurs dizaines de kilomètres au nord de l'endroit où l'infiltration avait eu lieu. En fin de matinée, des officiers ont frappé à la porte du bureau de Noam, ingénieur industriel dans une usine de machine-outil de Nahariya, une petite ville du nord d'Israël.

Depuis, cet homme réservé et peu prolixe, âgé de 53 ans, s'est lancé dans une bataille diplomatique et médiatique acharnée qu'il mène parallèlement à ses activités professionnelles. Son épouse, Aviva, 52 ans, secrétaire dans une organisation de défense de la nature, refuse de se faire interviewer. «Ma femme dit que la seule chose qu'elle a à dire c'est :"Rendez-moi mon fils !"», explique Noam en tournant la tête vers Aviva, qui, affairée dans la cuisine adjacente au salon, se tient ostensiblement à l'écart.

Dès le lendemain de son enlèvement, les photos de Gilad Schalit ont fait la une de la presse israélienne. Avec son sourire timide, ses lunettes et son allure dégingandée d'adolescent grandi trop vite, le jeune homme a des airs d'étudiant studieux malgré son uniforme.

Son père le décrit comme un «garçon timide et introverti», fan de basket et toujours prêt, lors de ses permissions, à aider sa mère pour s'occuper des chambres d'hôtes qu'elle loue à côté du domicile familial.

Gilad est entré dans l'armée pour effectuer son service militaire obligatoire de trois ans en juillet 2005, un mois après avoir passé son examen de fin de lycée, équivalent du baccalauréat français. «En raison de problèmes médicaux, il était à la limite pour être accepté dans une unité combattante, mais il a insisté et, finalement, il est entré dans une unité de chars», explique Noam.

«Manipulation». Depuis août, Israël tente d'obtenir la libération de Gilad contre celle de prisonniers palestiniens. Mais les négociations entre le gouvernement israélien et les groupes armés, dont le Hamas, qui ont revendiqué l'enlèvement, ont connu de nombreux rebondissements sans jamais se concrétiser. «Il y a beaucoup de manipulation de la part des ravisseurs, explique Noam. Nous avons dû apprendre à ne pas nous jeter sur toutes les informations disponibles, à ne pas lire, à ne pas écouter, à ne pas regarder.»

Des progrès ont cependant été enregistrés récemment. Une liste de prisonniers palestiniens, dont plusieurs commanditaires d'attentats-suicides meurtriers contre des Israéliens, a été transmise aux autorités. Mais les négociations avec Israël, qui exclut officiellement toute libération de détenu palestinien ayant participé à des attaques contre des Israéliens, s'annoncent laborieuses.

Sans remettre en cause ouvertement l'action du gouvernement israélien, Noam laisse percer son amertume : «Je sais que le gouvernement travaille à la libération de Gilad, mais ce qui compte pour moi ce sont les résultats. Et pour le moment, il n'y en a pas. Nous n'avons aucun signe de vie de Gilad, à l'exception d'une lettre qui nous est parvenue en septembre, dictée par ses ravisseurs, qui ne permettent ni contact ni visite.»

Dès les premiers jours qui ont suivi l'enlèvement de Gilad, Noam a demandé l'aide de la France. «Gilad est un soldat israélien mais aussi un citoyen français, souligne-t-il. J'ai été particulièrement sensible aux déclarations récentes du ministre des Affaires étrangères français, Philippe Douste-Blazy, qui a posé la libération de Gilad, qu'il a qualifié de "notre compatriote", comme condition à la reprise de l'aide internationale au gouvernement palestinien.»

Compassion. Il parle avec compassion de la situation des familles palestiniennes qui attendent, elles aussi, la libération de leurs proches détenus dans les prisons israéliennes. En novembre, il a rendu visite aux blessés palestiniens de Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza. Noam Schalit déplore cependant «qu'après le retrait de Gaza, les Palestiniens, à la place de construire des logements et des usines, ont construit des fabriques de roquettes et des tunnels pour faire passer des explosifs».

Difficile de coller une étiquette politique à Noam Schalit, qui mène un combat pour son fils sans jamais se départir d'une détermination et d'un calme qui semblent imperturbables. Lui dit ne pas avoir le choix : «Je dois rester calme. Si je montre mon mécontentement ou si je perds le contrôle de moi-même, ils comprennent de l'autre côté [palestinien] qu'ils peuvent faire monter les enchères. Ce que je ressens, je ne peux pas le montrer.»

Image hébérgée par hiboox.com

www.613camp.com

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12 avril 2007

LIBEREZ NOS SOLDATS...

12 avril 2007

Libérer des terroristes palestiniens en échange de Guilad Shalit ?

Libérer des terroristes palestiniens en échange de Guilad Shalit ?


C’est la question posée aux Israéliens dans le sondage organisé par le quotidien Maariv. Pour 45% des personnes interrogées (dont 64,4% des hommes et 53,3% des femmes), Israël doit accepter les exigences du Hamas et libérer des centaines de prisonniers palestiniens, même si plusieurs d’entre eux « ont du sang sur les mains ». 36,5% (dont 45,4% d’hommes et 27,7% de femmes), s’opposent à la libération des prisonniers palestiniens coupables de meurtre d’Israéliens. 18,6% ne se sont pas prononcés sur la question.


source: www.israelmagazine.co.il
8 avril 2007

Guilad Shalit bientôt libre ?

2007-04-08 00:26:00

www.613camp.com LA BRIGADE JUIVE

Après confirmation par Jérusalem des négociations en cours relatives à la libération du caporal israélien Guilad Shalit, le porte-parole du premier ministre de l'Autorité palestinienne a indiqué que l'accord sur l'échange des prisonniers avec Israël avait "considérablement avancé".

Samedi 7 avril au matin, le ministre palestinien de l'information, Mustafa Barghouti a indiqué qu'une liste de noms de prisonniers palestiniens avait été transmise par l'Egypte à Israël.

Ceux qui détiennent Guilad Shalit, otage depuis le 25 juin 2006, ont indiqué au cours de la soirée de samedi que dans le cadre de l'échange de prisonniers, Israël devrait libérer des prisonniers "sérieux" dans le premier groupe, et non dans le dernier groupe, comme le demandent les Israéliens.

Le porte-parole du Hamas Ghazi Hamad a déclaré "attendre la réponse d'Israël sur la liste des noms. Si Israël coopère sérieusement, je pense que l'échange pourrait être réalisé très prochainement."

La liste comprend 450 noms de prisonniers palestiniens. La plupart ont été arrêtés pour fait de terrorisme. Nous ne savons pas encore si cette liste comprend les noms de leaders palestiniens comme celui du terroriste Marwan Barghouti par exemple, responsable de plusieurs attentats meurtriers, arrêté et emprisonné à l'époque où Shaoul Mofaz était ministre de la Défense.

20 mars 2007

SIGNEZ LA PETITION POUR GILAD SHALIT


Sur le Parvis de l'Hôtel de Ville de Paris, il est juste d'avoir apposé le portrait de la citoyenne franco-colombienne Ingrid Betancourt.

Nous demandons que, de la même manière, le portrait du citoyen franco-israélien Gilad Shalit soit apposé, afin, comme pour Ingrid Betancourt, d'exiger avec force sa libération.


Avec le soutien de RADIO SHALOM 94,8

Signer la pétition http://www.guiladchalit.com/

http://www.freeoursoldiers.canalblog.com


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12 mars 2007

Vers une libération proche de Guilad Shalit

Le Premier ministre israélien et le président palestinien ont eu dimanche une entrevue qui a débouché sur des déclarations de Mahmoud Abbas encourageantes quant à la libération future de Guilad Shalit bien que dans l'immédiat aucun véritable signe de progrès vers la paix n’ait été enregistré. Mahmoud Abbas aurait promis à Ehoud Olmert que Guilad Shalit, enlevé le 26 juin dernier, serait libéré dans les semaines à venir, et ce avant la constitution du cabinet palestinien d’union. Il ne s’agit pas pour autant pas d’une première. A de nombreuses reprises, la libération de Shalit a été évoquée par divers dirigeants palestiniens.
Or, ces nouvelles déclarations interviennent quelques heures après l’annonce de la libération du Cheikh Salah el-Arouri, l'un des fondateurs de la branche militaire du Hamas. Ce qui laisse à penser à un éventuel échange de prisonniers, évoqué depuis des mois. Agé de 40 ans, Arouri est originaire de la région de Ramallah. Il avait été arrêté en octobre 1992, accusé d'avoir financé l'armement de la branche militaire du mouvement islamiste aujourd'hui au pouvoir dans les Territoires palestiniens.
Selon le porte-parole du Hamas Moshir al-Masri, cette libération n'a aucun lien avec un quelconque échange de prisonnier dans le cadre de la libération de Guilad Shalit. Un porte-parole des Comités de résistance populaire, l'une des trois organisations terroristes responsables de l'enlèvement de Guilad Shalit, a déclaré, pour sa part, qu'il n'y avait aucun avancement en vue de sa libération.
Rien ne semble vraisemblablement confirmer ou infirmer les déclarations du président palestinien quant à une libération future de Shalit. La libération de ce dernier semble être devenue un véritable enjeu national… palestinien, en ce sens que les deux factions palestiniennes rivales, Fatah et Hamas, sont engagées dans une véritable « course à la libération de Shalit ». Libération qui renforcerait le mouvement qui en serait à l’origine tant sur le plan régional qu’international.
La rédaction d’Infolive TV

15 février 2007

Guy Hever... Toujours en vie ?

Un soldat disparu en 1997 prisonnier en Syrie ?

Un groupe syrien a affirmé détenir le soldat israélien Guy Hever, disparu il y a 10 ans, et exige la libération de neuf prisonnier druzes en échange de leur otage.
   

Une organisation syrienne appelant à la « libération du Golan » a publié un communiqué dans lequel il propose à Israël un échange de prisonniers. Le nom de Guy Hever n’y est pas explicitement mentionné mais les parents du soldat ont néanmoins déclaré entrevoir une lueur d’espoir. L'avis fait notamment allusion à la somme d’argent offerte par la famille Hever à toute personne pouvant apporter des renseignements sur leur fils.
Sur le site internet qui lui est consacré,  cinq cents mille de dollars sont promis pour l'obtention de nouvelles informations  sur le soldat israélien.
«Même des millions de dollars ne ramèneront pas le soldat disparu sur le Golan chez lui, seule la libération de nos frères peut le permettre» affirment ceux qui prétendent être ses ravisseurs.


Guy Hever qui avait 19 ans au moment de sa disparition, a été vu la dernière fois dans sa base militaire le 17 août 1997. Depuis cette date, malgré les recherches et les efforts diplomatiques, aucune nouvelle du soldat n’est jamais parvenue à la famille.
Les spécialistes restent toutefois prudents sur les chances que ces informations soient véridiques tandis que le bureau du Premier ministre a fait savoir que les services de sécurité israéliens enquêtaient sur la crédibilité du communiqué.

Guy Hever, né en 1977, est considéré comme disparu de sa base militaire dans le Golan depuis le 17 août 1997[8]. Aucun groupe n'a revendiqué son enlèvement à ce jour, mais sa famille a été impliquée par les gouvernements israélien et allemand, dans des efforts diplomatiques de libération d'otages.

Pou plus d'informations sur le soldats Guy Hever : http://www.missing.co.il/http://www.missing.co.il/

15 février 2007

Les Familles des 3 soldats recues par le Pape

Le pape continuera d'oeuvrer à la libération des soldats kidnappés. Le pape Benoit XVI s'est entretenu à Rome avec les familles des soldats enlevés par le Hezbollah, Eldad Reguev et Oudi Goldwasser. Il leur a promis de poursuivre ses tentatives pour obtenir un signe de vie des militaires. Il y a quelques mois, le Saint-Père avait envoyé une lettre au guide spirituel du Hezbollah, cheikh Fadlallah, pour le presser de contribuer à l'élargissement des deux otages israéliens ou du moins d'obtenir un signe de vie pour leurs familles, mais sa requête avait été rejetée.

Dans la soirée, les familles Goldwasser et Reguev se sont entretenues avec des parlementaires italiens. Elles ont rencontré le vice-président du Sénat et les membres de la commission parlementaire des affaires étrangères et de la défense locale. Les députés se sont engagés à publier une déclaration officielle appelant à l'application intégrale de la résolution onusienne 1701 qui préconise la libération immédiate des militaires israéliens kidnappés par le Hezbollah.

Lors de leur séjour, les familles israéliennes doivent également discuter avec l'ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi, l'ex-ministre des Affaires étrangères Gianfranco Fini et avec l'actuel chef de la diplomatie Massimo D'Alema.

15 février 2007

CHILDREN OF JEWISH HOLOCAUST SURVIVORS LOS ANGELES

Site internet : CHILDREN OF JEWISH HOLOCAUST SURVIVORS LOS ANGELES

http://www.cjhsla.org/

12 février 2007

Chanson "Ze Lo Nigmar" Ce n'est pas Fini


Chanson "Ze Lo Nigmar" Ce n'est pas Fini...  "זה לא נגמר" לחצו כאן

[MP3 file, 4.98 MB]


מילים: רחלי שביט

לחן: רמי קליינשטיין

ברגע פשוט של שמש

הִרְעִישׁ את חיינו רַעַם פתאום

החיוך שידענו אמש

חמק מן הבית אל תוך החלום

זֶה לא נִגְמַר, גַּם אִם מִבַּחוּץ הַחוֹשֶׁךְ

שׁוֹלֵחַ אֵלֵינוּ יָדַיִם

זֶה לא נִגְמַר, גַּם אִם לְרֶגַע אָרוֹךְ

נוֹפְלִים מֵעַלֵינוּ שָּׁמַיִם

גַם כַּאן לִפְעָמִים

הַרָקִיע נִצְבָּע בְּתִקְוַוה מֵחוּדֵשֶׁת

פָּחַד וְקּוֹר נְמַסִּים

וְאַתֶּם מֵרַחוֹק מְצַיְּרִים לָנוּ קֶשֶׁת

זֶה לא נִגְמַר, גַּם אִם שְׁאוֹן תּוֹתָחִים

אֶת רָחַשׁ הַלֵּב מְמַסֵּךְ

זֶה לא נִגְמַר, וגַּם בְּלֵילוֹת הכבויים

ירח מעל ראשיכם לא דּוֹעֵךְ

בַּחֲלוֹף שֵׁינָה טְרוּפָה

כְּשֶׁהַבַּיִת יֵעוֹר לְקוֹלוֹת מוּכָּרִים

אָז בְּנֶפֶשׁ חֲשׂוּפָה

נְבָרֵךְ עַל שׁוּבָם שֶׁל שְׁלוֹשָׁה אֲהוּבִים

זֶה לא נִגְמַר, עַד נְלַטֵּף אֶת פְּנֵיכֶם

אֶת כְּאֵב הַמֶּרְחָק נַרְגִּיעַ

זֶה לא נִגְמַר, לִבֵּנוּ פּוֹעֵם בִּשְׁבִילְכֶם

הֵן הָרֶגַע הַזֶּה עוֹד יְגִיעַ

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